Le sens d'avancer
1 idée, 1 portrait, 3 questions
No.4 - Dimanche 26 octobre 2025 - Temps de lecture : 4 min
Le sens d'avancer
1 idée, 1 portrait, 3 questions
No.4 - Dimanche 26 octobre 2025 - Temps de lecture : 4 min
1 idée - Se pourrait-il que la procrastination ne soit pas toujours mauvaise ?
On pense souvent que procrastiner, c’est perdre son temps. En réalité, tout dépend de ce que l'on fait pendant qu’on remet autre chose à plus tard :
ne rien faire du tout,
faire quelque chose de moins important,
ou faire quelque chose de plus important.
C’est ce dernier cas qu’on appelle la bonne procrastination.
C’est celle de l’entrepreneur absorbé par une idée forte, qui met momentanément le reste de côté parce qu’il sent que quelque chose d’essentiel est en train de se construire. Son esprit n’est pas distrait, il est mobilisé ailleurs, là où ça compte vraiment.
Les petites choses du quotidien (mails, paperasse, rangement) ne sont pas inutiles, mais elles peuvent sûrement attendre. Quand on avance sur un projet qui nous stimule, on retrouve naturellement de l’énergie, de la motivation et de la clarté. Et c'est justement cet élan qui rend ensuite les petites tâches plus simples à traiter : elles ne pèsent plus, elles s'enchaînent.
Alors pourquoi remet-on souvent le plus important à plus tard ?
Parce que les projets les plus ambitieux offrent rarement une récompense immédiate. Ils demandent du temps, de la persévérance, et surtout une tolérance à l’incertitude. Face à cela, notre cerveau préfère les tâches courtes, concrètes, rassurantes… même si, au fond, elles ne te font pas réellement avancer.
La mauvaise procrastination, c’est celle qui t'occupe sans te faire progresser.
La bonne, c’est celle qui te permet de t’immerger dans ce qui compte vraiment, quitte à déranger un peu le quotidien.
Alors la prochaine fois que tu repousses une tâche, demande-toi simplement :
Est-ce que je fuis une contrainte, ou est-ce que je protège ce qui mérite vraiment mon attention ?
C’est là que se joue toute la différence entre perdre du temps… et bien l’utiliser.
1 portrait - Elodie, éclairer le chemin de la reconversion
Élodie a fondé son activité de coaching en 2020, après dix années passées dans les ressources humaines.
Son constat : beaucoup de personnes restent bloquées dans des métiers qui ne leur ressemblent plus, par peur de changer ou par manque de repères.
Elle accompagne aujourd’hui celles et ceux qui veulent redonner du sens à leur parcours, à travers un travail d’introspection et de passage à l’action.
Quel est ta définition de l'entrepreneuriat ?
L’entrepreneuriat, pour moi, c’est un acte de liberté et de responsabilité. C’est le choix de créer sa propre voie et d’en assumer pleinement les conséquences.
Qu'est ce qui te pousse à entreprendre ?
Avoir un impact plus grand. J’ai longtemps vu des personnes talentueuses s’épuiser dans des postes qui n’avaient plus de sens pour elles. Aujourd’hui, les aider à se réaligner et à retrouver une direction qui leur correspond, c’est ce qui me fait avancer chaque jour.
Ton objectif à 90 jours ?
Finaliser le lancement de mon programme collectif pour les personnes en transition de carrière, et déléguer la partie communication pour me concentrer pleinement sur l’accompagnement.
Qu'est-ce qui te freine le plus aujourd'hui ?
La dispersion. Entre les coachings, la communication, la création de contenus et l’administratif, il faut sans cesse jongler. Mon enjeu, c’est de recentrer mon temps et mon énergie sur ce qui crée le plus de valeur pour mes clients, et d’apprendre à déléguer le reste.
Quelle est ta plus grande ressource ?
Ma capacité d’écoute. C’est ce qui me permet de comprendre ce qui se joue derrière les mots, et d’aider mes clients à formuler ce qu’ils n’arrivent pas encore à dire.
Un conseil que tu as reçu, une phrase ou une citation qui t'inspire ?
« Le courage, c’est d’agir même quand on n’a pas encore toutes les réponses. »
C’est une phrase que je garde souvent en tête quand le doute s’installe ou que j’ai peur de me lancer.
Un livre ou podcast qui t’a aidé ?
Un livre, Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une, de Raphaëlle Giordano.
Ce livre m’a fait sourire, réfléchir, et surtout, il m’a confortée dans l’idée que le changement n’est pas un luxe, mais une nécessité.
3 questions - Trouver de l'élan
Lorsqu'une coachée me dit :
" J’ai souvent l’impression de tourner en rond dans le lancement de mon projet, je repousse sans cesse les choses importantes. "
Quelle est la chose la plus importante pour faire avancer ton projet que tu ne fais pas aujourd'hui ?
Qu’est-ce qui fait que tu remets toujours ce sujet à plus tard ?
Quel premier pas simple pourrais-tu poser dès demain pour créer de l'élan ?
Dépose ta problématique ici : 3 questions pour t'aider à y voir clair, dans une prochaine édition.
À dimanche prochain,
Cyril
de Fier.e d'être entrepreneur.e
Pour finir le mois d'octobre :
> 31 octobre : Améliore ta gestion du temps
> 31 octobre : Entrepreneuriat : Suis-je prêt à me lancer ?
Inscription ici
1 idée - Se pourrait-il que la procrastination ne soit pas toujours mauvaise ?
On pense souvent que procrastiner, c’est perdre son temps. En réalité, tout dépend de ce que l'on fait pendant qu’on remet autre chose à plus tard :
ne rien faire du tout,
faire quelque chose de moins important,
ou faire quelque chose de plus important.
C’est ce dernier cas qu’on appelle la bonne procrastination.
C’est celle de l’entrepreneur absorbé par une idée forte, qui met momentanément le reste de côté parce qu’il sent que quelque chose d’essentiel est en train de se construire. Son esprit n’est pas distrait, il est mobilisé ailleurs, là où ça compte vraiment.
Les petites choses du quotidien (mails, paperasse, rangement) ne sont pas inutiles, mais elles peuvent sûrement attendre. Quand on avance sur un projet qui nous stimule, on retrouve naturellement de l’énergie, de la motivation et de la clarté. Et c'est justement cet élan qui rend ensuite les petites tâches plus simples à traiter : elles ne pèsent plus, elles s'enchaînent.
Alors pourquoi remet-on souvent le plus important à plus tard ?
Parce que les projets les plus ambitieux offrent rarement une récompense immédiate. Ils demandent du temps, de la persévérance, et surtout une tolérance à l’incertitude. Face à cela, notre cerveau préfère les tâches courtes, concrètes, rassurantes… même si, au fond, elles ne te font pas réellement avancer.
La mauvaise procrastination, c’est celle qui t'occupe sans te faire progresser.
La bonne, c’est celle qui te permet de t’immerger dans ce qui compte vraiment, quitte à déranger un peu le quotidien.
Alors la prochaine fois que tu repousses une tâche, demande-toi simplement :
Est-ce que je fuis une contrainte, ou est-ce que je protège ce qui mérite vraiment mon attention ?
C’est là que se joue toute la différence entre perdre du temps… et bien l’utiliser.
1 portrait - Elodie, éclairer le chemin de la reconversion
Élodie a fondé son activité de coaching en 2020, après dix années passées dans les ressources humaines.
Son constat : beaucoup de personnes restent bloquées dans des métiers qui ne leur ressemblent plus, par peur de changer ou par manque de repères.
Elle accompagne aujourd’hui celles et ceux qui veulent redonner du sens à leur parcours, à travers un travail d’introspection et de passage à l’action.
Quel est ta définition de l'entrepreneuriat ?
L’entrepreneuriat, pour moi, c’est un acte de liberté et de responsabilité. C’est le choix de créer sa propre voie et d’en assumer pleinement les conséquences.
Qu'est ce qui te pousse à entreprendre ?
Avoir un impact plus grand. J’ai longtemps vu des personnes talentueuses s’épuiser dans des postes qui n’avaient plus de sens pour elles. Aujourd’hui, les aider à se réaligner et à retrouver une direction qui leur correspond, c’est ce qui me fait avancer chaque jour.
Ton objectif à 90 jours ?
Finaliser le lancement de mon programme collectif pour les personnes en transition de carrière, et déléguer la partie communication pour me concentrer pleinement sur l’accompagnement.
Qu'est-ce qui te freine le plus aujourd'hui ?
La dispersion. Entre les coachings, la communication, la création de contenus et l’administratif, il faut sans cesse jongler. Mon enjeu, c’est de recentrer mon temps et mon énergie sur ce qui crée le plus de valeur pour mes clients, et d’apprendre à déléguer le reste.
Quelle est ta plus grande ressource ?
Ma capacité d’écoute. C’est ce qui me permet de comprendre ce qui se joue derrière les mots, et d’aider mes clients à formuler ce qu’ils n’arrivent pas encore à dire.
Un conseil que tu as reçu, une phrase ou une citation qui t'inspire ?
« Le courage, c’est d’agir même quand on n’a pas encore toutes les réponses. »
C’est une phrase que je garde souvent en tête quand le doute s’installe ou que j’ai peur de me lancer.
Un livre ou podcast qui t’a aidé ?
Un livre, Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une, de Raphaëlle Giordano.
Ce livre m’a fait sourire, réfléchir, et surtout, il m’a confortée dans l’idée que le changement n’est pas un luxe, mais une nécessité.
3 questions - Trouver de l'élan
Lorsqu'une coachée me dit :
" J’ai souvent l’impression de tourner en rond dans le lancement de mon projet, je repousse sans cesse les choses importantes. "
Quelle est la chose la plus importante pour faire avancer ton projet que tu ne fais pas aujourd'hui ?
Qu’est-ce qui fait que tu remets toujours ce sujet à plus tard ?
Quel premier pas simple pourrais-tu poser dès demain pour créer de l'élan ?
Dépose ta problématique ici : 3 questions pour t'aider à y voir clair, dans une prochaine édition.
À dimanche prochain,
Cyril
de Fier.e d'être entrepreneur.e
Pour finir le mois d'octobre :
> 31 octobre : Améliore ta gestion du temps
> 31 octobre : Entrepreneuriat : Suis-je prêt à me lancer ?
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